Vers le renouveau des cabanes...?
Ce qui se fait aujourd'hui en matière de construction est très souvent "d'esprit" tellement médiocre, et tellement repoussant, malgré la beauté des surfaces et la propreté des lieux, qu'il est urgent de réinventer de nouvelles formules...
(C'est tellement repoussant que dans certain quartier, la délinquance atteint des niveaux incroyables.
Je ne pense pas que l'urbanisme soit directement responsable de la délinquance... comme on nous l'a trop souvent dit.
En revanche je pense qu'un environnement de qualité favorise le bien être des individus.)
Nous savons que l'invention à partir de "rien" n'existe pas...
Aussi, pour "inventer" quelque chose d'agréable, peut-être faudrait-il regarder vers ce qui se faisait autrefois de sympathique..?!!
Ce qui se faisait d'agréable autrefois, c'est certainement cette symbiose toute simple qu'il y avait entre les constructions et la nature, qui était preste toujours réussie...
Nos ancêtresétaient ils plus "artiste" que nous ?
A voir la pauvreté artistique de l'architecture moderne, la "qualité industrielle" de ses matériaux, on pourrait se poser la question...!
Pendant très longtemps les hommes ont construit des cabanes dans la nature. Habitat simple et vieux comme le monde...
Ce type d'habitat est fortement "ancré dans notre héritage culturel" et a toute sa place dans notre civilisation même aujourd'hui. Il faut créer les conditions du renouveau des cabanes, afin d'augmenter la diversité d'une part, et aussi réduire la consommation inconsidérée d'autre part.
Peut-être même, plus aujourd'hui que jamais... à cause des énormes mutations qui s'imposent à très grande échelle, la cabane "nouvelle formule" à toute sa place...
Nous avons là une petite cabane toute délabrée et abandonnée, qui symbolise bien l'héritage culturel du passé qu'elle représente...
Si j'en vient à considérer qu'elle peut représenter l'avenir de l'habitat, c'est bien par rapport au paysage qui l'entoure bien sûr,
non pas par rapport à la "baraque en planche".. !!
La "baraque en planche" je l'imagine tout autrement...
...il faut la "remplacer" par un "habitat bijoux", très bien conçu, super bien réalisé et de technologie très avancée…
"récupérant" tout : le vent le soleil, la pluie, l'énergie du sol, etc. et aussi qu'elle soit très belle.
A cette condition, la cabane a de l'avenir!
Elle peut même devenir en grande partie l'habitat du futur... sur notre planète!
car le désir de nature est immense et la nécessité écologique aussi...
Le désir de nature heureusement nous ne l'étoufferons jamais...!
Ces formules d'habitat modeste sont encore en symbioses harmonieuse avec la nature, et laissent moins d'emprise à la "bukérisation", de notre environnement. Ce phénomènes est devenu à présent très inquiétant...
(En effet, la bétonisation et centralisation de notre société par la construction d'immeuble de plus en plus "solides" et coupé de la nature est vraiment une horreur...
Cela avec des conséquences sur le mental des gens catastrophique... agressivité, vandalisme, entassement, sensation d'étouffement dû à la prosmicuité, en fait tout le contraire de l'harmonie...!!
Henri LABORIT nous explique que la violence apparaît lorsque 3 ingrédients sont mis ensembles...
- promiscuité,
- compétition pour la nourriture,
- impossibilité de fuite.
C'est précisément les ingrédients qui composement notre environnement contemporaint.
Alors, il ne faut pas s'étonner si le résultat est aussi désastreux !)
Or, les cabanes répondent précisément à cet objectif, de lutter contre la buker/bétonisation folle...
Le passé nous a enseigné que l'homme a réalisé dans la nature des cabanes et que cette formule qui est à l'origine de l'architecture est aussi une solution qui reste encore très agréable pour tous... elle est synonyme de liberté et de nature... or, on ne pourra avoir un monde libre avec du béton partout...
On en a presque perdu de vue que ces constructions légères, c'est bien souvent mieux que n'importe quel H.L.M...!
Cela concerne même les H.L.M. de luxe, car on a le sentiment que plus il est "de luxe" et plus il s'éloigne de la nature.
Bien entendu, il faut adapter ce type de construction à notre époque, le remettre au goût du jour.
Affiner expérimenter, mettre au point... pas facile - avec les inerties actuelles - mais indispensable pour le futur.
Trouver des zones adaptées, les anénager, les sécuriser.
Sécuriser cette formule, ce n'est plus un vrai problème, car cela on sait le faire, surtout avec les techniques que nous avons aujourd'hui... (vidéo surveillance, téléphonie, protection volumétrique, accueil par badge magnétique, etc. Techniques sophistiquées certes, mais pas forcément très coûteuses...)
Quoi qu'il en soit, cette formule coûte nettement moins cher qu'une maison classique, tout en proposant une très bonne qualité de vie dans la nature...
Au point qu'un jour, seule cette formule sera "accepté par les hommes" pour y vivre à cause de sa qualité et de "la nature préservée" qu'elle proposera.
C'est une des raisons pour laquelle il faut réinventer "les petites maisons" et les cabanes ...!!
Je pense cela depuis des années - voir le texte sur les "petites maisons" - et ce n'est pas aujourd'hui avec les énormes problèmes écologiques qui s'accumulent plus vite que prévu, que je vais penser le contraire...!
Mais ne nous trompons pas d'adversaire...
Protéger la nature ce n'est pas interdire les cabanes ou petites maisons... à mon avis c'est même le contraire, car les petites maisons protégent la nature, tout comme l'homme dans la nature est aussi censé la protéger. C'est cela l'osmose harmonieuse...!
Favoriser les petites maisons plutôt que les grandes pour protéger la nature...
Mais ordoner, organiser cela, il ne s'agit nullement de laisser faire n'importe quoi... au contraire, ici l'exigence de qualité est beaucoup plus importante pour ce type d'habitat que pour les autres. Car l'exigence de qualité est aussi la clef de la réussite.
("l'adversaire" ce n'est pas les "petites maisons dans la nature" comme on voudrait nous le faire croire...
L'adversaire c'est la débauche incroyable de moyens pour faire des choses très simples... oui, c'est d'abord cela qui détruit la nature.)
Une usine contemporaine pollue beaucoup plus que plusieurs milliers de cabanes. Or, aujourd'hui, on autorise beaucoup plus facilement les usines gigantesque que les cabanes.
S'il existe beaucoup de zones réservées aux usines, il n'existe pas d'un point de vue "urbanisation" de zones spécifiquement réservées aux cabanes...!!
L'urbanisme est ainsi fait... mal fait...!
Nos aménageurs crient haro sur les cabanes au point de les interdire à peu près partout et même de les faire démolir (avec l'appuis de tribunaux parfois,) comme si celles qui existaient encore étaient l'horreur suprême...!!!
Pour moi l'horreur suprème c'est "l'HLM social" de "luxe"...
Ce type d'habitat "concentrationnaire & écologique" représente pour moi l'horreur suprême...
Ce n'est pas à nos politique qu'il faut demander l'imagination nécessaire pour inventer de nouvelles formules de ce type alors que leur vision du futur se limite souvent à réciter par coeur leur cours de géographie urbaine du siècle dernier... Ce n'est pas ainsi que l'on inventera l'avenir!!
Réalisons bien que dans mes propos, il s'agit bien d'inventer des formules nouvelles faisant de nouvelles synthèses qui n'existent aujourd'hui encore nulle part...!
Qui peut mieux le faire que les artistes, les créatifs et les architectes ?!!
Nous les architectes sommes des inventeurs, des créatifs et avons le devoir d'entrevoir et l'obligation d'inventer l'avenir.
Nous devrions arriver à convaincre nos pouvoir publics que les cabanes cela peut être parfaitement gérable, et aussi, une excellente formule et que c'est loin d'être l'horreur...
Ce ne peut être l'horreur puisque c'est l'avenir futur de l'aménagement de la planête...!!!
(Je persiste à penser que l'on a trop vite banni une formule intermédiaire qui est réellement porteuse d'avenir. Le problème c'est qu'il faut la "mettre au point", l'affiner la définir, la construire, l'expérimenter...
Sous prétexte qu'il existe dans toutes les villes des bas quartiers avec des "cabanes taudis", la formule a été définitivement rejeté par nos aménageurs élus. Je pense que SUR LE FOND, c'est une grave erreur.
Je ne peux m'empécher de penser à cette période dans les années 55 à 60 où l'on brûlait les meubles en chêne dans nos maisons pour faire la place aux buffets en Formica. Avec le rejet des cabanes aujourd'hui, il se passe quelque chose d'un peu similaire...
A cause d'une "faille dans la réglementation" les cabanes dans les arbres ont pu ho, heureusement apparaître...
Ce sont des cabanes de rêves très intéressantes, esperont que l'on ne va pas prochainement les interdire.
L'homme pourchassé de la nature s'est réfugié cette fois dans un arbre...! )
Quelques unes de celles qui existent devraient être conservées ne serais ce que par richesse culturelle..
(Magnifiques baraques de pécheurs en bord de mer, cabanes de pierres sèches sur des murettes de vigne, cabanes dans les arbres, etc.)
La cabanisation de nos campagne, du littoral, des bords de ville effraye nos élu. On nous dit que c'est insalubre, laid et qu'il faut les raser...
Mais pour mettre quoi à la place ?
Une nature "propre" et parfaitement "nettoyée de toute trace d'homme"...?!!
Il est bien certain que "si l'on met l'homme dans un placard", il ne gêneras plus dans le paysage...!!
mais... quelle horreur ?!!
Les bruits de bottes ne me paraissent plus très loin...
Encore une fois pour mettre à la place... quoi ??!!
Des immeubles concentrationnaires de luxe ? (Je suis sûr que bientôt plus personne n'en voudra...!)
Pourtant, je pense (oui, le plus sérieusement du monde) que les cabanes (probablement de luxe...!) représentent la solution d'avenir de l'urbanisme du futur...!
Pourquoi cela ?
Parce que c'est une formule qui permet encore de concilier l'habitat et la nature pour le plus grand nombre.
De toute façon un jour (tout proche) le luxe suprême sera de rester en contact avec la nature..!!
Or, c'est précisément ce que permet encore aujourd'hui la cabane...
Remarquons aussi que "La cabane", c'est une demande de fond extrêmement forte...!!!
De très nombreuse personnes, jeunes et moins jeunes rêvent d'habiter dans une cabane... et surtout, tout près de la nature...
(Si tous ces jeunes qui n'ont rien à faire dans ces banlieues très devenues à présent très hostiles avaient leur cabane pour habiter ou à faire, on pourrait canaliser un peu leur dynamisme... et aussi être plus exigent envers eux, dans la mesure ou on leur propose quelque chose de plus sympathique... autre que la "drogue ou la prison"...!!
Actuellement on ne leur propose rien, ainsi c'est difficile d'être très sévére et exigent lorsque l'on a rien à proposer...
Mais l'essentiel n'est pas là, l'essentiel est essentiellement dans la préservation de la diversité des formules... )
Tout le monde en demande et redemande "des cabanes" et tous les blocages possible et imaginables sur le plan urbanistique (de la part des urbanistes dit "sérieux"...) sont mis en place pour les interdire...!
A terme cette ligne de conduite m'apparait intenable. On ne pourra pas indéfiniment "interdire la nature" aux hommes.
En revanche si on encadrait ce type d'occupation du sol avec un certain nombre de règles bien choisies, et très strictes, la formule serait parfaitement viable... et cela pourrait même être TRES BEAU et faciliter l'accès au logement à des milliers de gens modeste, tout en ayant ce qui me parait essentiel, c'est à dire la véritable qualité de vie...
En outre, cela pourrait favoriser de ce fait la rotation dans l'habitat traditionnel. Remarquons qu'autrefois ce phénomène existait et participait tout naturellement à la "régulation de la demande".
Cette formule est parfaitement viable :
- Mais je pense et répète, le plus sérieusement du monde que les cabanes (surtout de luxe...!) représentent la solution d'avenir de l'urbanisme du futur...
De toute façon un jour, et pas très éloigné, le luxe suprême sera de rester en contact avec la nature sans être nécessairement riche...
- Les riches eux, auront naturellement toujours droit à la nature. (Avec des milliards on peut toujours achetter un lac avec une petite cabane au bord de l'eau...!)
- Tout d'abord rappelons que cette formule des cabanes n'abîme et ne détruit rien...! (ou si peu !)
- En comparaison la moindre usine industrielle abîme et détruit infiniment plus...
- Ensuite, il est parfaitement possible de définir un certain nombre de règles simple permettant à ce type d'occupation de l'espace d'être possible et vivable... (qu'il faut définir par l'expérimentation et la réflexion...)
Par exemple ces régles pourraient être :
Surface des terrains relativement réduite (on peut imaginer e 150 à 200 m2) afin de compenser le phénomène d'étalement du à cette formule qui effectivement prends plus de place... mais la qualité est à ce prix.
Dans certaines zones où ces cabanes seraient autorisées, on pourrait ne prévoir qu'un nombre limité de maisons.
Ne pas réaliser de dessertes par routes larges près des cabanes...
(On peut trouver une formule pour s'approcher des cabanes mais les derniers mètres devront être fait à pied pour préserver la nature dans ces lieux)
Les clôtures entre les parcelles peuvent être extrêmement réduites et très discrètes traitées en végétation... interdire les affreuses clôtures en béton, même si cela ne s'est encore jamais fait, il faudra le faire, comme on interdit les pesticides...
Pour avoir un meilleur contrôle de la qualité et gestion, le terrain pourrait appartenir à un seul propriétaire pour cette zone.
(Cet aspect effraye beaucoup les autorités, donc cette solution peut être envisagé si cela doit faciliter l'expérimentation de la formule, dans le cas de la création de zones future de ce type).
On peut également imaginer un principe de bail amphithéotique.
Cabanes construites sur pilotis en bois, ou métal, etc. afin d'abîmer le moins possible le sol. Sol qui pourrait alors rester "un jolie tapis de verdure continu agrémenté de fleurs"... le côté "jardin à vivre" du concept doit véritablement "EXPLOSER" dans ce projet...!!!
Enfin, dans ce domaine comme nous le voyons, et bien que la cabane représente "un type d'habitat vieux comme le monde", pour de nouvelles formules adaptées aux données contemporaines, nous avons encore TOUT à inventer...!!
La préservation de la nature cela s'apprend, et ce n'est pas quand tout est fini et lorsqu'il y a du béton partout qu'il faut y penser. Cela s'apprends aussi au tout début de la conception d'un habitat. Les choix fondamentaux sont ici essentiels.
Si ces constructions étaient de grande qualité bien que modestes, elle seraient éloigné du "bidon ville" contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, cela uniquement pour critiquer cette formule d'habitat.
Pour que le renouveau des "cabanes" de fasse il faudra au moins deux choses :
* tout d'abord des réalisations de très bonne qualité. (pas un brick à brac de planche)
Ceci afin que l'esprit "bidon ville" ne transparaisse pas, car il n'y a aucune raison fondamentale que l'habitat modeste soit assimilé à un bidon ville...
* ensuite, un rapport de l'homme à la nature tout différent... (cela aussi il faudra l'apprendre)
J'aime bien le concept qui consiste à "considérer la nature comme un écrin"...
Notre écrin de vie...
Mais nous en somme tellement loin...!!
(Liste à compléter...)
Avant toute chose il faut reconnaître les cabanes comme habitat à part entière et non pas comme "un habitat au rabais".
Prévoir et développer des zones adaptées aux cabanes et qui soient DE QUALITE et que l'on maîtrise parfaitement.
La demande de construction de cabanes et une aspiration extrêmement forte des gens...
Tout le monde rêve de cabane... beaucoup de jeunes bien entendu, mais même ceux qui ont une grande maison...!
(Habiter à deux dans une maisons de 450 m2 voire plus, - j'ai connu un couple de Montpelliérain qui habitaient dans une maison de 1 000 m2 - doit quelquefois vous donner envie d'habiter dans une cabane...!!)
Beaucoup de personnes découvrent par hasard, souvent lorsqu'ils envisagent d'en construire une, que les cabanes sont interdites à peu près partout...
Il faut pas bannir les cabanes, mais au contraire les réhabiliter comme l'on réhabilite une formule trop vite évacué par nos "technocrates de l'urbanisme"...
(J'aurais presque envie de dire "technocrates du malheur"...! Tellement les belles chose sont bannies de nos espaces "totalement vérouillé"...)
Il n'y a aucune raison qu'on interdise la formule si on oriente avec bon sens et contrôle la "dynamique" que représente ces "constructions" légères...
Cela en faisant à de nombreux endroits des terrains adaptés et prévus pour recevoir des "constructions de ce type "...
Actuellement entre le camping (et ses horribles mobil-home industriels) et le lotissement actuel, il n'existe aucune formule intermédiaires valable.
Cette formule intermédiare s'impose pour de nombreuses raisons.
Elle pourait permettre aux générations futures d'avoir une approche autre acceptable...
et peu à peu s'imposer comme une formule très écologique ... à défaut d'être la seule possible...!!!
Je ne crois pas aux "tours écologiques", c'est des environnement "d'enfer urbain", qu'on nous propose là, et qui n'auront probablement aucune suite.
Sauf sur des zones très limités... et pour vérifier expérimentalement - une nouvelle fois - que cela ne vas pas et que, précisément c'est l'enfert...!!!
Cet enfer du futur je le laisse vraiment sans regrets aux élites de l'architecture...
Pour moi, moi le choix sera tout autre, ce sera le jardin.
Cette formule d'habitat "léger" permettrait de créer une catégorie intermédiaire de logement, moins cher, très agréable à habiter et qui aurait pour effet de réduire la tension sur la demande et les prix actuel des logements.
C'est aussi une façon de faire baisser les prix, que d'augmenter l'offre...
(On vas dire que ceux qui achètent des cabanes ne sont pas les même que ceux qui achètent des logements de luxe... bien sûr, mais une forte disponibilité d'habitat léger aurait nécessairement une répercussion sur les prix de toute construction. Même si cette répercution est modeste.)
Mais avant tout cela, il faudra impérativement expérimenter la formule, trouver une "qualité artistique très élevée" pour éviter le piége du "bidon ville"...
Eviter aussi les graves erreurs que nous avons faites lorsqu'il a fallu promouvoir les maisons à ossature bois en France vers les années 1981.
(A cette époque les MOB ont été présentées comme un sous produit de la maisons en dur...
Maisons qui avaient déjà une image de marque très déprécié, car les promoteurs avaient fait n'importe quoi pendant des années. C'était l'époque des "Maisons Occitane".
Dans l'esprit du public, c'etait la même chose, mais pour faire gagner encore plus d'argent aux construteurs, la même chose en pire puisque c'était en bois...!!
Ce fut un echéc complet de la MOB.
La maison à ossature bois a fini pparémerger à partir du bouche à oreille... c'était des fréalisation d'architecte pour les architectes...
On a perdu 20 ans suite à cette erreur d'appréciation...!
En fait il fallait dès le début présenter ce type de construction comme un produit luxieux...! )
Espéront que nous proposerons d'entrée de jeu, des cabane de luxe, dès les premières réalisations, il faut voir que c'est un excellent produit digne des meilleurs standard de l'industrie.
Ainsi les gens aimeront ces réalisations...!!!
Ce sera plus long que pour les lotissements actuels car c'est beaucoup "plus délicat" à inventer...
...beaucoup plus difficile et plus fin à mettre au point. Mais encore une fois cette évolution d'inventer un autre compromis apparaît sur le long terme inéluctable.
Ce sera de toute façon extrêmement difficile à faire admettre à nos élus... mais un jour ce sera peut-être LA FORMULE LA PLUS EN VUE SUR LA PLANÈTE...!!!
Le jour ou nous serons plus nombreux et ou il sera impératif de réduire drastiquement la consommatrion de bien de toute sorte, pour revenir à l'essentiel...
Pour toutes ces raisons le débat doit être relancé sur cette forme d'habitat que sont "les zones des cabanes" ou d'habitat ultra léger.
Ce type d'occupation du sol représentent un avenir d'habitat à diversifier. Cela est devenu une impérieuse nécessité écologique qui apparaît à notre époque incontournable...
(En écologie nous savons bien maintenant qu'un système est d'autant plus stable qu'il est varié, cela est probablement aussi vrai dans le cas de la diversité de l'habitat.)
Jean-Luc SAUVAIGO
architecte
Septembre 2007
http://www.maison-solaire.com/site_nature/VERS_RVX_CABANES.html